"Complex Networks" et la structure multipartie des graphes
Il est récemment apparu que la plupart des grands graphes rencontrés en pratique appelés graphes de terrain (ou "Complex network" en anglais), ont des propriétés non-triviales en commun. En conséquence, une intense activité est aujourd’hui consacrée à la définition des modèles qui captu...
Saved in:
Main Author: | |
---|---|
Other Authors: | |
Format: | Theses and Dissertations |
Language: | French |
Published: |
2015
|
Online Access: | http://repository.vnu.edu.vn/handle/VNU_123/348 |
Tags: |
Add Tag
No Tags, Be the first to tag this record!
|
Institution: | Vietnam National University, Hanoi |
Language: | French |
Summary: | Il est récemment apparu que la plupart des grands graphes rencontrés en pratique
appelés graphes de terrain (ou "Complex network" en anglais), ont des propriétés
non-triviales en commun. En conséquence, une intense activité est aujourd’hui
consacrée à la définition des modèles qui capturent ces propriétés. Parmi les plus
prometteurs travaux, on a été proposé d’encoder des graphes de terrain par des
graphes bipartis. Cependant, on a constaté que ce modèle obtenu ne capture pas
suffisamment des propriétés sur les cliques des graphes de terrain en réalité.
Nous explorons ici la possibilité de sortir de cette limite en introduisant un
encodage multiparti (un encodage des graphes de terrain comme des graphes multipartis).
C’est une généralisation de l’encodage biparti. Plusieurs définitions sont
possibles, cependant, il est difficile de trouver un encodage multiparti efficace, c’est
à dire d’assurer la propriété de convergence de l’encodage.
Dans notre travail, nous avons proposé une méthode pour résoudre pleinement ce
problème en construisant une bijection d’un graphe multiparti vers une série d’ensembles
ordonnés. Alors, au lieu d’étudier directement la convergence du graphe
multiparti, nous l’avons étudié sur cette série d’ensembles ordonnés.
Nous avons aussi implémenté les algorithmes efficaces pour la génération d’un
modèle aléatoire d’un graphe G étant donné. Les résultats expérimentaux montrent
que non seulement le graphe aléatoire généré peuvent capturer des propriétés sur
les cliques mais encore il possède des propriétés qui sont très proches de celles du
graphe G. |
---|