De la périphérie au centre: La participation de la Chine aux négociations OMC
En novembre 2001, la Chine entrait finalement à l’Organisation mondiale du commerce après un marathon de 15 ans de négociations pour son accession. Comme son accession correspondait au lancement du cycle de Doha, de nombreux commentateurs ont estimé que la participation de la Chine aux négociations...
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Format: | text |
Language: | French |
Published: |
Institutional Knowledge at Singapore Management University
2012
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Subjects: | |
Online Access: | https://ink.library.smu.edu.sg/sol_research/2189 https://ink.library.smu.edu.sg/context/sol_research/article/4141/viewcontent/perspectiveschinoises_6229.pdf |
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Institution: | Singapore Management University |
Language: | French |
Summary: | En novembre 2001, la Chine entrait finalement à l’Organisation mondiale du commerce après un marathon de 15 ans de négociations pour son accession. Comme son accession correspondait au lancement du cycle de Doha, de nombreux commentateurs ont estimé que la participation de la Chine aux négociations commerciales aurait un impact significatif sur le cycle. Cependant, cela ne s’est pas produit. Quelles ont été les approches adoptées par la Chine dans les négociations commerciales internationales ? Pourquoi la Chine a-t-elle adopté ces approches ? Comment ont-elles affecté la dynamique des négociations commerciales ? Voici les questions traitées dans cet article qui montre comment, au début du cycle, la Chine s’est montrée assez réticente à participer aux négociations et a seulement très progressivement, autant que tardivement, rejoint les principaux groupes décisionnaires de l’OMC. Bien que la Chine ait été acceptée dans le G7, le groupe le plus puissant au sein de l’OMC, elle a plutôt joué un rôle de soutien que de meneur. Cet article explique pourquoi la Chine a adopté un profil bas et examine les propositions chinoises effectuées jusqu’à présent, à la fois d’un point de vue quantitatif et qualitatif. L’article se conclut par une analyse des implications au sens large du pouvoir croissant de la Chine au sein de l’OMC. |
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